Bourse de rédaction du CÉRIUM

Bourse de rédaction du CÉRIUM

Séjour de rédaction au CÉRIUM – UdeM

Je suis très ravie d’être une des quatre récipiendaires de la bourse de rédaction pour doctorant·e·s en études internationales du Centre d’études et de recherche en études internationales (CÉRIUM) de l’Université de Montréal. Pendant la session d’hiver 2022, j’aurais aussi le plaisir d’être accueillie par la professeure du département de science politique Françoise Montambeault à la Chaire de recherche du Canada Participation et Citoyenneté(s).

Cette bourse de rédaction de 5 000 $ appuiera le processus d’écriture de ma thèse doctorale qui porte sur le rapport entre les politiques antiféministes « anti-genre » et le recul démocratique au Brésil.

D’autres détailles : https://cerium.umontreal.ca/nouvelles-et-evenements/nouvelles/une-nouvelle/news/detail/News/le-cerium-accueille-quatre-doctorants-boursiers-deurope-des-etats-unis-et-du-quebec/

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Le CÉRIUM accueille quatre doctorants boursiers d’Europe, des États-Unis et du Québec

 

Comme à chaque trimestre d’automne et d’hiver, le CÉRIUM accueille une nouvelle cohorte de doctorant.e.s récipiendaires d’une bourse de rédaction de 5000$. Affilié.e.s à des universités du Royaume-Uni, des États-Unis et du Québec, ils et elles disposeront d’un espace de travail dans nos bureaux à l’Université de Montréal, comme à l’habitude. Nous sommes heureux de vous les présenter, avec leur parcours universitaire (et civique) exemplaire, et leur projet de recherche aussi pertinents que prometteurs!  

Ali Aljasem est doctorant au Centre d’études sur les conflits — Histoire des relations internationales de l’Université d’Utrecht, aux Pays-Bas. Ses recherches portent sur le paramilitarisme en Syrie. Il observe plus exactement la mobilisation des civils dans la perpétuation de la violence. En marge de ses études, il a notamment travaillé, entre pour le Dialogue Advisory Group, à Amsterdam, et pour Médecins sans frontières en tant que conseiller en sécurité à Alep, en Syrie.  

Daniel Solomon est doctorant à l’Université de Georgetown, aux États-Unis. Sa thèse porte sur les déterminants et la dynamique de la violence des pogroms dans l’Allemagne nazie, aux États-Unis et au Royaume-Uni. Il est également chercheur associé au Centre Simon-Skjodt pour la prévention du génocide au US Holocaust Memorial Museum, chercheur affilié à l’International Justice Lab du College of William & Mary et chercheur invité à l’Institute for Security and Conflitct Studies à la Elliott School of International Affairs de l’Université George Washington. Les recherches de Daniel ont été publiées dans Comparative Politics et dans Genocide Studies and Prevention, par des organisations de recherche sur les politiques telles que le US Holocaust Memorial Museum, l’US Institute of Peace et la Stanley Foundation, et par des médias tels que DissentThe New Republic et le blogue Monkey Cage du Washington Post.

Louise Ridden est doctorante au Département de politique internationale de l’Université d’Aberystwyth, au Royaume-Uni. Ses recherches sur la protection civile non armée portent sur le rôle de la non-violence dans la production de connaissances sur les conflits. Elle est codirectrice du Center for the International Politics of Knowledge et assistante de recherche sur le projet Creating Safer Spaces. 

Danielle Coenga-Oliveira est candidate au doctorat en science politique et études féministes à l’Université du Québec à Montréal. Dans le cadre de sa thèse doctorale, en tant que boursière CRSH Joseph-Armand-Bombardier, elle se penche sur le rapport entre les politiques antiféministes « anti-genre » et la démocratie à l’intérieur de l’État brésilien. Depuis 2008, elle travaille comme consultante en recherche, égalité de genre et droits des femmes et des personnes LGBTQI+ auprès d’organisations internationales, dont le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), et d’organisations non gouvernementales au Brésil et au Canada. 

 

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